Bague métallique à cliquet fixé sur le guindant des voiles d'avant et crocheté sur la draille ou l'étai (endraillé).

Equipier qui trace la route et donne le cap.

Lien ou unité de vitesse égale à un mille à l'heure.

Préparer une manœuvre ou éviter un danger en arrondissant.

Objet gonflé, de forme cylindrique ou sphérique, servant à prémunir le voilier contre les chocs dus à l'amarrage contre un quai ou un autre navire.

:Une abattée entraîne un empannage involontaire.

Le bateau, au portant, remonte dans le vent et se couche.

Partie latérale du pont.

Câble tendu entre le haut du mât et celui du tableau.

Drapeau. Il peut être national ou représenter une lettre ou un chiffre, il sert alors à communiquer.

Ruban matérialisant le vent apparent le long d'une voile.

Cela signifie qu'il n'y pas de vent.

Ensemble de taquets autocoinceurs ramenant dans le cockpit la majorité des manœuvres.

Marge de sécurité qui, ajoutée au tirant d'eau, donne la profondeur minimum à atteindre. Elle vaut au départ un pied (33cm) mais dépend en général de l'état de la mer et peut atteindre un mètre.

Cela correspond à une unité de longueur : 0,3048 mètres. Un 60 pieds, c'est 18,28 mètres.

Mouvement involontaire vertical du voilier.

Angle des voiles. Il en existe trois: d'amure, de drisse et d'écoute.

Composante de la force aérodynamique (ou hydro) dirigée perpendiculaire au sens du vent (ou du courant).

Voir allure.

Se dit d'une voile qui est bordée de façon efficace.